• Une ville nommée : Silaville, est maintenant envahie par les services secrets qui tentent de résoudre le mystère de « la bête enragée ». Cette « bête » s’attaque à plusieurs boutiques, principalement celles où se trouve de la nourriture, environ une fois par mois on déclare plus de 5 morts, à chaque fois que cette bête attaque.  

    Elle tue toutes les personnes se trouvant sur son chemin. Personne n’a encore pu l’identifier, mais plusieurs racontent avoir vus un loup surgir de nul part et dévorer toute personne présente, évidement c’était impossible puisque les loups avez disparu. 

    Chaque soir, toutes les boutiques sont à l’affût et tentent de capturer cette bête, ils sont évidemment aidés par les services secrets. C’est dans le centre-ville que vas se dérouler la scène.  

    Une petite boutique spécialiste en charcuterie, tout est calme rien ne se passe. 

     

    Soudains la porte s’ouvre sans qu’il n’y est qui que ce soit, le propriétaire du magasin reste derrière son comptoir le téléphone en mains prés à appeler la police. Soudain une ombre traverse la porte vitrée comme un éclair se fracasse sur un arbre, cette ombre se transforme vite en véritable monstre affamé. L’homme, le téléphone à l’oreille est déjà en train de prévenir la police, lorsqu’il s’aperçoit que la créature en question se révèle être un loup. 

    Un gros chien avec un pelage épais qui avait une couleur rouge-orangé, sa queue était toute noire ainsi que le bout de ses pattes et son ventre jusqu'au cou, cela lui faisait comme des flammes noires qui couraient sur ses pattes. Il semblait être un chien croisé avec un ours, tellement il était féroce et fort. Sa force était si grande que l’homme n’osa faire le moindre mouvement. 

    Le loup se m’était à dévorer tout se qu’il pouvait, il détruisait tout, quand il s’aperçut que l'on le regardait il s’arrêta et fixa droit dans les yeux l’homme tout en grognant, au moment ou il allait bondir sur l’homme, des voitures s’arrêtèrent devant la boutique et des hommes en tenues noires et armés de fusils allaient entrer dans le magasin. Le loup n'eut pas le temps de manger plus, il fut obligé de sortir, il sauta au dessus de tous les hommes armés, plusieurs tires avait étaient lâchés mais aucun n’avait touché la bête.  

    Quelques rues derrière Tsume, Kiba, Hige et Toboe avaient entendues les hurlements poussés par des hommes sans doute attaqués par quelque chose. 

    -Vous avez entendu ?  

    -Toboe, fit Hige, qui ne pourrait pas entendre ces hurlements ? 

    -Il faut aller voir ce qu'il se passe. 

    Tsume parti en direction de la bagarre qui avait l’air plutôt grave. 

    -Et ! Tsume ! Attends ! 

    Toboe courra après Tsume en essayant de le rattraper, Kiba et Hige n’avaient pas d’autres choix que de les suivre. Tous les quatre se dirigèrent donc vers le lieu où se trouvait la fameuse bagarre. Le loup se battait comme un démon, très vite il massacra presque tout les hommes qui se trouvaient sur le lieu. Toboe avait réussit à rattraper Tsume, ils montèrent au dessus de la maison pour pouvoir y voir sans se faire remarquer. 

    -Oh ! Mais qu’es ce qui se passe ?demanda Toboe, complètement effrayé, à Tsume. 

    -C’est un loup, qui est en train de massacrer toutes les personnes se trouvant à côtés. 

    -Mais, pour quoi fait-il ça ? 

    Tsume ne répondit pas. Kiba et Hige arrivèrent à leur tour. Ils admiraient le spectacle. Le loup savait où attaquer, il mordait en plein cou et de se faite les humains ne pouvait plus respirer. Il déchirait tous les bras qui se tendaient vers lui pour le fusiller.  

    Le sang régnait sur les lieux. Voyant que d’autres voitures arrivaient, le loup ne s’éternisa pas. Il tua tous les hommes qu’il pu et s'enfuie. Le petit groupe, qui était perché en haut des maisons, suivirent la bête du regard, ce comportement était des plus étrange. Il est vrai que les hommes on toujours détestés les loups et qu’ils ont toujours essayaient de les tuer, ils étaient même arrivés à croire qu’il n’en restait plus.  

    Mais les loups qui étaient rusés réussir à prendre l’apparence des hommes à fin de ce faire passer pour eux. 

    La bête qui avait attaqué semblait n’avoir aucune couleur distincte, son pelage semblait changer à chaque reflet de la lune. Elle était puissante et courait énormément vite.  

    Toboe la voyant partir courut de toutes ses forces pour la rattraper, les autres n'eurent d'autres choix que de le suivre 

     


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  • La vengeance d'Alois

    Animé: Black Butler

     

    Résumé:  

    Alois fait un pacte avec Darka un jeune démon prit de passion pour ce comte. Alois se voit donc offrir la possibilité de se venger de Sebastian et Ciel, l'assassin de son petit frere et de ses majordomes. Mais Darka n'en voudrait il pas plus ?
     

    Fanfiction 05: Black Butler

     
    Personnages: Sébastian, Ciel, Alois, les domestiques, Darka (OC)
     
    Chapitres: 8
     
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  • Un malheur d'Akuma

    animé/manga: D-gray man

    Résumé

    Et si un corps se partageait entre humain et Akuma?
    Il aurait alors les pouvoirs d'un akuma, et peut être ceux d'un exorciste ?
    La congrégation serait en danger?
    Comment gérer une telle situation....?

     

    Fanfiction 06: D-gray man

    Chapitres: 3

    Personnages: Allen, Leenalee, Lavi, Reever, Komui, Daisya, Koryan/Reiner (OC)


    Genres : Mystère, Horreur, Surnaturel.

     


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  • «  Tu as une vie si misérable, Alois Trancy. »

    Cette phrase prononcée à l'instant même résonna dans tout le manoir désormais vide et demeurant dans la nuit complète. Un jeune garçon au cheveux d’or était couché sur son lit et semblait effrayé par cette voix lugubre qui l'appelait comme si elle venait des Enfer.

    « Alois Trancy! »

    L’appel fut bien plus près que précédament et un bras vint soudainement plaquer le maitre des lieux contre le mur opposé à son lit.

    -Qui...Qui êtes-vous?! S’écria le jeune garçon, totalement tétanisé.

    Son agresseur semblait aussi âgé que lui, soit vers les quinze ans. Il avait de longs cheveux noirs parsemés de mèches rouge et attachés par ci par là avec des barrettes bleu ciel. Il était habillé plutôt bizarrement, avec une veste rouge et un habit d'écolier jaune et gris.

    -Je suis un démon, Darka, et je suis là pour faire un pacte.

    -J'ai déjà pactisé avec un diable, ça me suffit! Répliqua le blond après avoir reprit son sang froid.

    -Justement! Ne souhaites-tu pas te venger de Sebastian? De ciel? Ou bien... de Claude?

    -Claude est encore avec moi!

    -Faux! Il ta abandonner et a changé de proie, tu le sais aussi bien que moi, petite chose.

    -ça suffit! Laisse-moi!

    -Héhé. . Je te conseille de ne pas trop attendre, bientôt tu mourras, faute de soins, ce serait bête que je ne puisse pas profiter de toi et que tu ne puisse faire ta vengeance. Hahaha!Tu n'auras qu'à m'appeler lorsque tu auras réfléchit, n'oublie pas, et nomme moi « Tarek-Lupus ». Je serais à ton écoute, jeune compte.

    Le démon disparut alors aussi soudainement qu'il était apparut, laissant le silence revenir et envahir à nouveau le manoir. Laissant aussi ce jeune garçon dans une incompréhenssion totale.

     

     

     

     

    Le matin arriva et les premiers rayons du soleil réveillèrent instinctivement le jeune Trancy. Il se leva et parti en direction de la cuisine, là, il prépara un déjeuner qui consistait à deux tartines de beurre avec un verre de lait chaud. C'était la seul chose qu'il pouvait faire lui même pour déjeuner car il n'y avait désormais plus personne dans le grand manoir depuis prés de deux semaines. Claude était parti se battre contre Sebastian et depuis, Alois n'avait plus de nouvelles, mais il se doutait bien que son majordome l'avait abandonné. Le plus dur pour le jeune garçon était qu'il ne savait vraiment pas se débrouiller seul, il ne sortait pas de chez lui, ni même pour acheter des vivres. Il était d'ailleurs en rupture de stock et déjà sa blessure causée par Ciel s'infectait dangereusement.

    Après le déjeuner, Alois partit dehors sans même s'être habiller convenablement, de toute manière, a quoi bon? Il était seul, personne ne le voyait et sa vie était déjà finit, il aller mourir bientôt, alors restait avec les même depuis plus de quinze jours, qui remarquerait?

    Dans sa tête tout était confus. La mort de Luka, le pacte avec Claude, le fait qu'il l’a abandonné, Sebastian et Ciel, et puis maintenant ce démon, Darka. Que lui voulait il celui là ?!

    « Claude... » Ce prénom faisait des aller retour incessant dans la tête du jeune garçon.

    « Claude...Claude! Comment...Pourquoi tu m'as abandonné?! » C'est a se moment que la phrase de Darka revint. « Ne souhaite tu pas te venger de Sebastian? De ciel? Ou bien... de Claude? »

    C'était pour lui l'occasion rêvée, il pouvait faire un pacte avec ce démon et ainsi écrabouiller ces deux majordomes et ce Ciel ! Mais il y avait un problème, Darka ne semblait guère plus fort qu'un enfant qui plus est, un pacte de plus n’allait pas arranger les choses. Mais pourtant…Il avait besoin de l’aide de quelqu’un, alors, après hésitation, il appela :

    -Tarek-Lupus! Viens à moi!

    L'invocation fonctionna parfaitement et le  « démon-enfant » apparut avec un fin sourire de détraqué.

    -Alois...Mon cher Alois...Héhé. Tu as donc réfléchit, n’est ce pas?

    - Comment comptes-tu t'y prendre?

    -Pourquoi donc?

    -Pour m'aider à me venger! Je compte participer moi aussi.

    -J'ai des pouvoirs de démon, je te rappel.

    -Justement! Tu n'as pas l'air plus fort que moi.

    -HaHaHaHa! C'est la meilleure! Je suis bien plus fort que Sebastian et j'égale facilement les deux rassemblés.

    -Qui est tu au juste?!

    -Je suis simplement un Diable de palier supérieure à celui de ces deux abrutis de majordomes!

    -Palier supérieure?

    -Oui. Je suis de sang pur, mon père est un démon en personne, quand à ma mère, c'est un Ange.

    -C'est cela que tu appel sang pur?!

    -Quoi d'autre?! J'ai les pouvoirs des deux camps et mon aura peut même aller jusqu'à tuer tout les êtres vivants aux alentours.

    -Alors que veux-tu en échange?

    -Ton âme ne m'intéresse pas, je verrais donc après, mais tu seras toujours vivant quoiqu'il arrive.

    -...Alors j'accepte.

    -…vraiment ?

    -Oui !

    « Cet abruti n'a même pas demandé de détail et ne veut même pas savoir ce que MOI je lui donne Hahaha! Comme c'est drôle, il enchaine sans même faire attention. Il est vraiment perdu. »

    Darka, tout en rigolant et en gardant son sourire sadique, leva son bras et posa sa main gauche sur la figure d'Alois. Il prononça certaines paroles puis demanda l'accord du garçon, ce qu'il donna rapidement. Un flash rouge les engloba puis la main du démon fit comme « exploser » une trace qui se grava sur sa main et la figure d'Alois. C'était un Triangle avec de chaque côtés un pentacle, tout cela entourer par un cercle de plusieurs millimètres d'épaisseur.

    -Tu es a moi Alois Trancy.

     

    Désormais, le démon allait cohabiter avec Alois dans la grande demeure.

    -Bien, commença Darka en s'approchant, je vais aller chercher à manger, ensuite je m'occupe de toi.

    -Hé! Tu ne me vouvoie pas ?!

    -non, je ne suis pas ton domestique mais un ami. Mes pactes sont ainsi.

    -Mais...?!

    -Non! Je ne t'obéis pas.

    Darka se retourna et commença à partir en direction du chemin de terre qui, théoriquement, devait le conduire en ville.

    -Attend! S'écria une voix derrière lui. Il y a encore assez de nourriture pour que tu y aille plus tard!

    Comprenant la vrai raison au fait qu'Alois ne voulait pas le voir partir, le démon le regarda d'un air las.

    -Je ne suis pas comme Claude, je n'abandonne pas les sujets de mes pactes.

    -...d’ailleurs, combien de pactes as-tu passé?

    -Tu es le premier véritable.

    -Que veux-tu dire?

    -J'ai toujours fais des pactes non-officiels. En fait, j'ai prés de quatre cent ans, tu peux donc compter sur moi, je ne suis pas un faiblard.

    -...

    Alors Darka s'éloigna en marchant à vive allure tandis que le petit blond le regardait partir sans rien dire. Ses pensées étaient toujours les mêmes, en réalité s'était peut être même de l'amour qu'il éprouver envers Claude. Comment pouvait-il être perdu au point de faire un autre pacte? Surtout qu'il n'avait même pas demandé d'exactitude sur le contrat, il pouvait aussi bien être tombé dans un piège qu'être tombé sur la bonne personne. Qu’aller t il devenir ?

    Ne voyant pas l'utilité a rester dehors, Alois finit par rentré à l'intérieur et se coucha sur le canapé qui se trouver dans son bureau. Avant, dans cette pièce, il y avait toujours Hanna ou Claude. Jamais il n'avait était aussi seul, d’ailleurs, étaient-ils toujours en vie ces démons là? Il n'y avait aucune nouvelle, il était totalement couper du monde extérieur et vivait uniquement avec son passé, ses terribles souvenirs qui lui revenait de plus en plus et le faisait cauchemarder. Et toutes ses pensées de future vengeance, tout ce qu'il pourrait faire avec l'aide de Darka. La vengeance tournait en obsessions.


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  • « -Laissez-moi sortir ! j’vous en supplie ! Non !!! » 

    -Monsieur Komui ! « Il » est arrivé !

    -Hum…Je vais aller voir, merci Reever.

    L’homme au béret fait signe au blond qu’il peut disposer. Il souffle un coup et pose sa tasse de café, avec un lapin rose dessus, et se dirige vers la sortie de son « bureau » ou tout simplement, sa décharge de papier… Il s’appelle Komui et est le grand intendant de la congrégation de l’Ombre, un ordre spécial regroupant des exorcistes qui combattent les akumas. Le brun au béret traverse toute la citadelle avant d’arriver dans une pièce lugubre étant, apriori, un laboratoire. Une autre personne est là, c’est soixante-cinq, un espèce de spectre ambulant.

    -Bon, comment va-t-il ? demande l’intendant sans attendre de réponses et en allant ouvrir une porte de métal donnant sur une petite cellule de béton armé.

    Cette pièce est sombre, lugubre, tel un cachot, et pourtant, sur le lit contre le mur, un jeune garçon y est couché, attaché par de grosses chaines à ce lit. Il semble réveillé, alors le brun va à sa rencontre en s’approchant tout prés.

    - Dis-moi, comment tu t’appelle ?

    Pas un son ne sort de la bouche de la victime.

    -Tu dois avoir l’impression d’être un cobaye humain, je suis désolé pour ce mauvais traitement, mais tu es bien trop dangereux. Ne t’inquiète pas, mes hommes sont en train de trouver une solution à ton problème, tout ira bien.

    Il feint un sourire puis repart comme si de rien n’était.

    - Laissez-moi partir ! Ne fermais pas ! Non !, crie l’autre sans qu’aucun son ne sorte, une fois de plus, ses cries restent dans sa gorge.

    Maintenant, la porte est close.

    ~~~~~~~O~~~~~~~O~~~~~~~O~~~~~~~O~~~~~~~O~~~~~

    Cette porte est à nouveau ouverte, mais cette fois c’est une jeune fille, aux cheveux longs et attachés en deux couettes, accompagnée de son frère Komui et un autre garçon à la chevelure étonnamment blanche. Leenale, de son prénom, avait l’air horrifiée de voir ce garçon enchainé à ce lit.

    -Grand frère… ! Co…Comment as-tu pus lui faire ça ?!

    -Leenale…Je crois que tu n’as pas compris la menace qu’il représente pour nous tous. Il n’y avait pas d’autre choix que d’agir ainsi. Et puis je t’avais prévenu, tu n’es pas obligé d’être là…

    -Mais pourquoi… ?!

    - Ecoute-moi bien. Ce garçon est à la fois un akuma et un exorciste. Il a une arme qui ne détruit que les akumas et son innocence fait que les exorcistes ne peuvent pas l’atteindre. A la rigueur, le seul truc efficace serait encore un revolver, sans compter bien sûr que ça n’a aucuns effets sur les akumas. Est-ce que tu comprends ça ?

    -Il est…intouchable ?

    -Par nous en tout cas, oui.

    -Alors que les Noé, ils peuvent, intervint Allen. C’est pour cela qu’il doit rester secret, c’est ça ?

    -Tu as tout comprit ! Il est un fléau pour nous, mais pas pour eux.

    -Qu’est ce que l’ont va faire de lui alors ?! S’empressa de rajouter la fille.

    -Rien pour le moment… Et on a de la chance s’il ne prend pas sa forme d’akuma. Je vous rappel qu’il a tué un grand nombre de nos compatriotes, entre autres deux exorcistes. Heureusement qu’ils ont réussit à l’arrêter avec le nouveau piège que j’ai inventé.

    Le jeune garçon les observe, du peu qu’il peut encore voir. Sa petite tête blonde lui fait mal et il n’arrive pas à cerner tous les mots qu’il entant, tout ce qu’il sait, c’est que c’est encore à cause de « l »’akuma qu’il a des soucis et se retrouve enchainé à ce lit. Pourtant cela faisait un moment qu’« il » n’était pas apparut, tellement longtemps que le garçon se demandait si il n’était pas mort et ainsi débarrassé de cet intrus.

    -Est-ce qu’il est nourri au moins ? Est ce qu’il se sent bien ?

    -Je ne sais pas Leenale, il n’est arrivé que ce matin et c’est Riveer qui s’en charge.

    -Je demande à m’occuper de lui jusqu’à ce qu’il soit détaché de ce lit.

    -Hum…Seulement si il n’y a pas de missions importantes.

    Je ne sais pas depuis combien de temps elle me regarde comme ça, assise sur sa chaise. Elle ne connait même pas mon nom, la seul chose qu’il me reste à moi et moi seul, mon secret… Je suis tellement affaiblit que je n’arrive pas à prononcer un mot, à avaler ce qu’elle me donne dans une cuillère, comme les bébés. Mon occupant me pompe toutes mes forces et si jamais j’essayai de me dérober de son emprise, il prendrait l’entière possession de mon corps et détruirait cette « citadelle » aussi facilement que l’on casse une allumette.

     

     Qu’attendent t ils pour m’achever ?

     

     

     

     

     

     

    Un gars…enfin, un truc bizarre, un spectre ou je ne sais quoi et venu pour m’examiner. J’ai fais un énorme effort pour me contrôler et ne pas laisser place à « l »’akuma.  Qu’attentent-ils pour m’achever ? Je n’en peux plus de cette souffrance, de cette haine qui noircit mon âme seconde après seconde. Pourquoi moi ?

    Cela fait plusieurs jours que je suis là, dans ce bâtiment qui sert de Q.G aux exorcistes. Les exorcistes ne sont ils pas censés détruire les akumas ? Alors que font-ils avec moi ?

    Soudain, la porte s’ouvre à nouveau. Ce n’est pas la fille qui m’a quittée un peu avant, ce n’est pas ce spectre, c’est ce blond qui n’arrête pas d’essayer de me faire rire à chaque fois. Il tient d’autres chaînes dans ses mains, elles ont l’air toutes neuves. Avec les forces que j’ai repris, il me serait facile de briser celles qui m’entourent et le tuer lui et toute cette bande de marioles !

    -Kory, je te présente ton armure à base d’innocence !

    Il vient de m’appeler…Kory ?! Comment connaît-il mon prénom ?!

    -Tu t’appelle bien Kory, non ?

    -O-Oui… !

    -Est-ce que je peux te faire confiance pour deux minutes ? Me demande t il avec un air plus que sérieux.

    Je retiens mon souffle et je lui demande ce qu’il compte faire. Son idée est de canaliser l’akuma qui est en moi, de le bloqué, par la puissance de cette innocence. Des chaines capables de retenir les ténèbres ? Il faut essayer… Je pense…

    -Je suis prés à essayer. Mais si ça tourne mal, je ne donne pas cher de ta peau.

    -J’ai conscience du risque. Si tu arrive à te contrôler, tu en as pour quelques secondes.

    Ma respiration accélère, je sens qu’  « il » ne veut pas faire ça. « Ne pas disparaitre » c’est tous ce qu’ « il » souhaite, « il » me l’a dit cent fois auparavant.

    Dans des gestes rapides, le blond, répondant au nom de Riveer, détache les chaines du lit. Mon corps est libre l’espace d’un instant et il me fait m’assoir. Je me contrôle tant bien que mal, mon cœur me trouble, je presse mes bras contre mon torse. J’ai si mal. « Il » est si puissant ! Ça me glace le sang. Mais toutes ses sensations cessent lorsque  Riveer passe la chaine autours de mon cou, j’entends un clic, puis il fait de même sur les poignets, vers les coudes, au niveau de la taille, aux genoux et aux pieds. Le supplice est terminé. Je ne sens plus rien. Je suis seul dans mon corps, je me sens si libre soudainement. Mais cette armure de chaine est gênante et parcours tout mon corps, du cou jusqu’aux pieds.

    -Est-ce que ça vas ?  Tu te sens bien ?

    Il me touche l’épaule.

    -Je vais bien…Mais comment est-ce possible ?!

    -Ce sont des chaines construites avec de l’innocence. Ça a été très dur à faire, mais on a réussit, et tu as l’air d’aller bien, non ?

    -Oui. Mais « il » est en colère après moi… ! Je ne dois plus enlever ses chaines, n’est ce pas ?

    -Oui, pour le moment en tout cas. Pour la suite, je dois t’emmener à Hevlaska pour qu’elle t’identifie.

    -Qui c’est ?

    Il m’aide à me lever et me fais sortir de cette pièce. Il m’explique qu’Hevlaska est une exorciste possédant l’innocence principale, puisqu’elle permet de repérer et s’occuper des innocences, et aussi de voir le taux de synchronisation. Bref, je n’ai aucune envie d’y aller.

    Nous traversons l’étage des scientifiques. Il n’y a personne ? Au bout d’un petit moment, je me rends bien compte que cette citadelle est une tour géante et que tout se ressemble. Nous arrivons par je ne sais quel moyen devant une…pyramide à l’envers qui lévite. Une espèce de…truc à forme un peu humaine, blanche, spectrale. Mais qu’est ce que c’est que ce cirque ? À mon grand malheur, je vois ce Komui avec deux ou trois autres scientifiques. Il y a aussi cette fille, Lenalee. J’avance doucement, j’observe, je suis encouragé par le sourire de celle-ci.

    -Kory, est ce que tout vas bien ? Me demande t elle, l’air inquiet.

    Je n’ai aucune envie de lui parler, cependant, alors je tourne la tête vers celui qui semble être le supérieur.  Il me regarde et me répond en parole.

    -Je vois que mon idée à marchée, tant mieux. Tu vas pouvoir te déplacer dans toute la citadelle librement tant que tu auras ces chaines. Evidement, s’il te venais l’idée de te les enlever, tu succomberais à l’Akuma. Mais je crois que tu as compris cela.

    -Venez en au fait, je n’aime pas cette endroit…

    -Sois certain, tu ne sortiras pas d’ici tant que je ne serais pas sûr de ta fidélité envers les exorcistes. Viens avec moi.

    Il me fait signe de monter sur cette plateforme flottante. Ce truc, ce spectre, Helvaska, me fait peur. Je suis figé sur place devant son regard paralysant. Une de ses…tentacules ? Me prend et me porte à la hauteur de son visage. D’une voix un peu robotique, elle me dit :

    -Tu n’as pas à avoir peur, je ne te veux aucun mal, d’accord ? Laisse toi simplement faire.

    Mon cœur bat lentement, mon flux sanguin à diminué. J’ai l’impression de ne plus rien sentir.

    -Taux de synchronisation : 1 %.

    -1% ?! S’exclame Komui. Est-ce qu’il est au moins conscient de son innocence ?

    -De quelle innocence vous parlez ?!

    J’ai déjà un akuma, c’est suffisant.

    -Akuma repéré : LVL inconnu !

    -Un niveau inconnu ?! Mais qu’est ce que c’est que ce gamin ?!

    -Reever, ce n’est pas un gamin ! Me défend la fille.

    -Non, c’est un akuma

    -Grand frère !

    Les pulsions de mon cœur sont de plus en plus intenses, tellement fortes, je sens que je vais exploser. Ra !!!!! Je ne peux plus « le » contenir !  Je pousse alors un cri de rage d’une telle ampleur que toute la citadelle a dû l’entendre. Je n’arrive plus à m’arrêter, mes cries sont de plus en plus longs et puissant. Mon corps se tord de douleur et une ombre se créée derrière moi. La pyramide à fait une rencontre avec le mur, je ne sais pourquoi. Helvaska n’a pas l’air d’aimer non plus. Cette ombre grossit au fur et à mesure des secondes qui passent, prenant une taille gigantesque représentant une forme qui ne m’est pas inconnue et recouvrant tout l’espace de l’endroit où nous sommes. Avec cette aura de ténèbres, les autres n’ont aucun mal à deviner de qui il s’agit. Oui. Vous l’avez réveillé, ,et vous n’auriez jamais dû !

     


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  • Ici seront postés tous les articles liés à Free! (entr autre: la fanfiction que j'ai écrite et quelques images pour présenter l'animé)

    Voici donc les liens pour les chapitres de la fanfiction "Nager à en perdre haleine"

     

    Free Iwatobi !

    Chapitre 1

    Chapitre2

    Chapitre 3


    Chapitre 4 [FIN]


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  • Chapitre 2

     

    Depuis que Ryuga lui avait donné la liste des élèves, Damian les répétait chaque jour, espérant retrouver une partie de sa mémoire, seulement, il restait bloqué sur tous, à part le nom du professeur, le professeur principal. Il s'en rappelait de lui, et d'ailleurs, il allait arriver prochainement dans l'après midi à fin d'apporter des nouvelles du collège et son soutien personnel et ceux des camarades. Ryuga, toujours présent au chevet du garçon, se trouvait là quand l'adulte arriva, accompagné par le docteur. Bryhat devait s'occuper des autres enfants, au foyer, alors il ne pouvait plus vraiment se permettre de venir chaque jour, ce pourquoi Ryuga le faisait à sa place.
    Lorsque Mr Helea arriva, Damian s'occupait en dessinant. Sa vue se débloquait petit à petit, bien qu'une partie restait toujours floutée. Mais il persévérait, il voulait voir comme avant, car ça, il s'en rappelait, les vues depuis sa maison, loin, chez ses parents. Ryuga lui avait un peu expliqué pourquoi il parlait de foyer et d'assistants d'éducation. Apriori, Les parents de Damian l'avait laissé un moment car ils devaient s'absenter. Le blandin ne connaissait pas réellement l'histoire et ne voulait pas dire n'importe quoi, à force il s'attacher à ce gamin et se refusait un peu à lui faire de la peine.


    -Comment vas-tu, Damian ? demanda le professeur, sourire aux lèvres, heureux de voir son élève en meilleurs forme que ce qu'il avait entendu dire.


    -Je vais bien. Je vois un peu... un peu flou. Et je n'ai mal nulle part.


    -C'est une bonne chose. Tu ne t'ennuies pas ici ?


    -Pas vraiment... Ryuga est là alors... Je ne suis pas seul.


    Le garçon en question ne prit pas même la peine de lever son regard de son bouquin, trop préoccupé à se faire discret, les profs, il n'aimait pas ça, et l'idée d'entamer une discussion avec un lui donné la nausée.


    -Je t'apporte des gâteaux de la part de la classe. Ils attendent ton retour. Surtout Sora et Zeo. Ils m'ont confié une lettre pour toi. Ils ne voulaient pas venir te voir au risque de te rendre mal à l'aise.


    -Oh... Je vois...


    Damian prit les deux enveloppes et les déposa sur sa table de chevet, tout comme la boite de gâteaux. Le professeur lui parla alors des cours qu'ils avaient faits, il lui donna un devoir de mathématiques auquel la note attribuée était un 19/20. En peu de temps, il en vînt au problème de son amnésie et demanda si cela lui poserait un grand problème au collège. Il répondit qu'il n'en savait rien, et qu'il lui restait prés de deux semaines pour se rappeler.


    -Et puis il y a Ryuga. Il m'aidera.


    -J'suis pas ton album mémoire, répliqua sèchement le concerné. Tes souvenirs sont à toi, pas à moi.


    -Heu... Oui...


    Mr.Helea fut choqué par ces paroles froides et lui fit une petite leçon de morale dont l'adolescent n'écouta aucuns mots, trop préoccupé désormais par le devenir de son héro dans sa bande dessinée. Non. Vraiment, il s'en fichait royalement de ce que pouvait lui dire cet homme, et il s'en ficherait toujours. De ce fait, il exaspéra ce professeur qui fini par vite s'en aller.


    -Tu ne l'aimes pas ? demanda Damian, une fois seuls.


    -Quoi ?


    -Le...heu... Helea, tu ne l'apprécie pas ?


    -Du tout. C'est un de ces gars saoulant qui ne pensent qu'à faire des leçons. J'en ai rien à foutre de lui.


    -Oh. Je vois.


    Le silence retomba brusquement, ce pendant un très long moment. Jusqu'à ce que, ennuyé, Ryuga s'en aille faire un tour dehors. Depuis quelque temps, un garçon aux cheveux vert venait lui adresser la parole lorsqu'il se calait sur un banc, dans le parc. Ce jeune homme, à peine plus jeune, se nommait Kyoya Tategami. Et ce dernier se trouvait déjà assit quand l'autre arriva.


    -T'es encore là toi ?
    -J'peux te poser la même question.
    -Ben, t'sais bien que j'suis là pour quelques temps encore.
    -Ton Damian n'est pas encore guérit ? Il devrait être sorti depuis, non ?


    Ryuga avait finit par avouer les raisons pour lesquelles il se trouvait dans ce bâtiment chaque jour qui passait. Sans pour autant évoquer le comment du pourquoi l'autre se retrouvait alité. Ainsi, à force de trainait dans le parc et les couloirs, il finit par rencontrer ce gars.


    -Tu fais quoi déjà dehors ?


    Le blandin avait prit l'habitude de se rendre en premier sur ce banc, et d'attendre que le temps passe, tout seul, pendant un instant, avant que l'autre ne pointe le bout de son nez.


    -Ma sœur n'a pas de pause. Elle est en urgence là. Donc j'attends qu'elle finisse pour la voir.
    -Ok.
    -Quand je pense que tu étais dans mon collège, et qu'il aura fallut ça pour se parler.
    -Les deux isolés du collège se retrouvent dans un hôpital ! C'est clair que c'est étrange.
    Ils parlèrent de tout et de rien, amusé, intrigué, craintif. Tous les sujets passaient par leur bouche. Ryuga ressentait une certaine satisfaction à communiquer ainsi avec un gars des rues et s'en faire un passe temps durant ses longues attentes dans ce bâtiment.
    -Donc tu tarderas pas à partir pour le bahut de ton protéger ?
    -J'le protège pas. Je suis payé pour être à ses côtés. C'est mon distributeur de billets.
    -Haha ! T'as une manière étrange de voir les choses !
    -Pas plus étrange que toi. T'attends ta sœur aussi souvent que possible ici juste pour lui dire bonjour et partir.
    -Ha ! D'ailleurs ! T'aurais pas un frère toi ?
    L'aîné fit de gros yeux, surprit, mais détourna rapidement la tête pour fixer un autre banc sur sa droite. Au vue de sa réaction, Kyoya touchait un point sensible. Plusieurs secondes passèrent, une vieille femme en fauteuil roulant passa devant eux, faisant s'ébruiter les petits cailloux entre eux et contre les roues.
    -Tu veux pas en parler ?
    Ryuga laissa s'échapper un souffle, amusé par la question. Parler ? Parler pourquoi ? Qu'est ce que ça lui apporterait ? En quoi l'autre serait intéressé ? Où pourrait t on trouver une utilité à divulguer une chose personnelle comme celle-ci ? Et puis, actuellement, son frère, il n'en avait pas de grandes nouvelles, ni de ses parents d'ailleurs. Ryuga seul s'était enfuit, délaissant la maison familiale, tout seul. Apres tout, s'il était resté...
    -Ryuga ? Tu sais, t'es pas obligé de répondre.
    -Comment tu sais ça ?
    -quoi ?
    -Comment tu sais que j'ai un frère ? Personne ne le sait. Comment tu peux être au courant ?
    Son frère était plus jeune et n'avait jamais été dans un collège de la ville. Il vivait dans la campagne, à une trentaine voir quarantaine de kilomètre. Comme il y avait une ville plus imposante et plus prés, jamais il ne venait dans celle où vivait son aîné. Le garçon aux cheveux vert expliqua alors qu'en réalité il l'avait croisé dans la galerie marchande, dans cette fameuse ville plus grande, à l'occasion d'une fête, un ou deux ans auparavant. Surpris de rencontrer un gars de son collège, il avait tenté une approche, mais s'aperçut bien vite qu'il ne s'agissait pas de la même personne.
    -Donc c'était ton frère, et pas toi. Il se promenait avec des amis à lui, donc un gamin en tenue d'école primaire, il courait partout et réclamait des jeux. J'ai pris une photo, sur mon ancien portable. J'te l'apporte demain.
    Sentant qu'il avait fait intrusion un peu trop loin dans la vie du blandin, Kyoya se leva et dit au revoir avant de partir à l'intérieur du bâtiment, attendre avec le personnel de l'hôpital. Pendant ce temps, seul sur son banc, l'autre ruminait de vieilles choses.
    Plus tard, il remonta tenir compagnie à Damian puis rentra au foyer.
    C'est ainsi que passa près d'une semaine, tranquillement. Le malade retrouvait déjà toutes ses forces, sa vue de nouveau à la normale, sa jambe proche de la guérison, et son amnésie semblait se dissiper un peu sur certaine choses, surtout de ce qu'il vivait auprès de ses parents. De vagues souvenirs sur sa vie en foyer remontaient, et pour ce qui était du collège, le peu qu'il parvenait à percevoir lui semblait étrange.
    -Tu as déjà frappé quelqu'un ?
    Surprit par la question soudaine, Ryuga releva la tête. Il se rendit compte que depuis quelque temps il ne s'était plus attardé sur le corps de son cadet, alors qu'habituellement, il le fixait intensément et observer le moindre morceau. Alors que la il avait plutôt tendance à l'éviter et s'ennuyer de lui.
    -Ouai. Et ensuite ?
    -C'est forcement mal ?
    -T'as des questions plus pourries encore ?  En général c'est mal de frapper quelqu'un, non ?
    -Mais t'es pas quelqu'un de mal, toi !
    Il eu beau chercher dans tout les sens, ce que disais l'autre devenait ridicule... Pourquoi de telles interrogations ? Il se souviendrait d'un moment où quelqu'un frappait une personne ?  Et ensuite ? Qu'est ce que ça pouvait bien faire. Puis raconter que l'aîné ne figurait pas comme malveillante...
    -J'suis p'tet pas quelqu'un de mal, mais j'suis pas quelqu'un de bon. C'est quoi ton problème ? Tu te rappelles d'un truc ?
    -Oui... Je me battais avec des personnes, mais je ne vois pas les raisons... Je ne sais même pas si... si je ne me battais pas juste pour l'amusement... !
    Ryuga se leva alors à fin de se mettre sur le côté du lit, en face du garçon assit sur son lit. Il le toisa durant un court instant et finit par appuyer du bout de son index sur la joue gauche du blessé. Ce dernier ne comprit pas la signification de ce geste et resta silencieux, attendant la suite. Qui arriva.
    -Tu es stupide. T'aurais pas plutôt d'autres trucs à réfléchir ? Ça se trouve t'as une copine et tu le sais pas.
    -J'en ai pas.
    -comment tu le sais ?
    -Les lettres de Zeo et Sora le mentionne. D'ailleurs, apparemment ce sont des amis. Sora est un camarade de classe et Zeo un ami de longue date, il me demandait si je me rappelais de l'endroit où nous avions brulé nos cahiers, en primaire.
    -Oh ? Tu as fais ce genre de choses ? Ridicule.
    -Et toi ? Parles moi de toi. Je sais rien sur toi alors que tu veilles sur moi tout le temps.
    -T'es mon gagne pain, normal, non ? J'ai rien à dire moi.
    -Tu n'as jamais rien fais ? Avec ta famille ? Des amis, des frères et sœurs ?
    Le grand tiqua. Encore cette histoire de frère ? Mais qu'avaient donc les gens avec le fait d'avoir une fratrie? Sérieusement, qu'est ce que ça pouvait bien faire ?! Cependant, en s'interrogeant quelque peu, il remarqua que ces choses là, il n'en avait parlé qu'à très peu de monde... Enfin peut être personne... Qui savait pour ses parents ? Qui savaient pour son frère ? Qui savait pour lui-même ?
    Enervé devant le fait que ce Damian représenté la seule personne à lui avoir demandé une chose pareil, il se frotta la tête frénétiquement avant de souffler un grand coup. L'envie de tout déballer le démangé. Mais il ne devait pas. Il ne devait pas dévoiler tout ça.
    -J'ai un frère. Plus jeune que toi. Il vit avec mes parents. C'est tout.
    -Il s'appelle comment ?
    -Ry... Ryuto.
    -Tu aurais une photo ?
    L'aîné répondit sèchement que non, puis se remémora que Kyoya, si. Depuis leur dernière rencontre, il prenait la peine de l'éviter. Pourquoi ? Mystère. Il ne se sentait juste pas capable de lui adresser la parole à nouveau. Mais là... Là il se rendit compte que ce gars possédait quelque chose qui lui était cher. D'un vif élan, il sorti de la chambre et traversa un long couloir pour dévaler des étages et prendre la porte d'entrée. De là, ce fut une course en direction du banc encore libre. Son cœur battant, il respira plusieurs grands coups puis regarda l'heure. Kyoya n'arriverait pas avant bien une heure. Fatigué par le cirque qu'il venait de faire, Ryuga laissa son regard vagabonder dans le parc. Des personnes âgées, des handicapés, des personnes aux allures basiques... Rien de bien changeant. Et est ce que chez lui aussi rien ne changeait ?
     
     
    Un poids sur son épaule le fit sursauter. Le temps avait passé en un clin d'œil, et déjà Kyoya se trouvait là.
    -Enfin décidé à me parler ?
    -Je veux voir la photo.
    -Ouai.  J'l'ai mise sur mon téléphone, là, regardes.


    Il sorti un portable plat avec seulement un grand écran tactile. Il posa son doigt sur un menu, dans ses images, puis sur une petite miniature qui s'agrandie.


    -Je l'ai prise en douce, alors c'est pas le top, hein.


    Ryuga identifia très clairement les personnes. Son petit frère se trouvait au centre, habillé avec un jean et une veste d'un de ses mangas préférés. Le petit à ses côtés, s'était Yu, un enfant plus ou moins lié à la famille. Avec lui, Tsubasa regardait quelque chose à une vitrine. Ses cheveux argentés désormais coupés. Il avait grandi. Puis son frère. Ryuto. Il lui ressemblait de plus en plus et possédait même une coloration rouge lui aussi ! Sur la droite. Plus grand, plus musclé. Oui. Ce gars...


    -Tu le reconnais ?
    -Bien sûr que oui !
    -Et pourquoi tu n'étais pas avec lui ce jour là ?


    Décidément, c'était la journée des questions familiale là... Mais bon... pour une fois.... Puis parler à un gars qu'on ne reverrait jamais....


    -Je suis en foyer d'accueille. Lui il est chez mes parents.
    -Ben... Pourquoi vous n'êtes pas ensemble ? C'est toi qui es parti ?
    -Si on veut... Je suis parti seul en foyer, et j'ai laissé tombé ma famille et inversement.
    -Et ton frère ne te manque pas ?
    -ça fait six ans. Il avait sept ans. Tu vois un peu les souvenirs qu'il a de moi... Le tyrannique Ryuga ! Toujours en train de lui crier dessus !
    -Toi ? Je ne te crois pas.
    -Moi... ? Moi non plus...


    Ryuga éclata alors de rire. Un rire étrange, comme si il libérait un brin de tristesse. Une main cachant son visage, il rigola fortement, comme un fou. Son délire s'estompa puis il se releva. Il serrait les dents. De colère ? De regret ? Kyoya eu du mal à discerner, mais lorsqu'il vit son ami commençait à s'en aller, il lui prit alors le bras, le forçant à se retourner pour le regarder. Une larme coulait sur son visage.


    -Sors avec moi ! répliqua alors de but en blanc le garçon aux cheveux verts.
    -Quoi ?
    -Tu ne voudrais pas sortir avec moi ?


    Le blandin ne rigolait plus et adoptait un air sérieux, le regard plantait dans celui de l'autre. Il essaya de comprendre ce qu'il avait loupé pour comprendre de tels mots. Mais rien ne fit. Ces mots demeuraient exacts.


    -Pourquoi sortir avec toi ?
    -ça m'est venu d'un coup. Je me disais... que ça pourrais peut être marché.
    -Et tu vas me sortir que tu as vécus des choses dures toi aussi ? Que tu as un frère dont tu es séparé et que du coup tu comprends tout ? Les mecs ne m'intéressent pas. Ni les filles d'ailleurs. Je veux pas m'encombrer. Désoler.


    Cette fois, ce fut au tour du deuxième de rire ouvertement.


    -Ne viens pas pleurer quand tu seras au pied du mur alors. A une prochaine.

     

     

     

     

     

     

    Ryuga ne comprit pas vraiment ce que voulait dire les paroles de Kyoya. De quel mur parlait-il ? Il voyait un obstacle là où n'y en avait pas. Pour le moment, tout se passait bien. Damian allait enfin sortir de cette chambre blanche et partir pour le collège. Et depuis, personne ne lui parlait de son frère ou sa famille. Tout allait bien. Il ne s'ennuyait plus en cours. Il vivait simplement. Au foyer, les enfants avaient finis de le mettre totalement à part, et le retour du blessé aida beaucoup pour ça.
     
     


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  • La Fanfiction d'Hakkenden !

    Hebishiki

     

    Chapitre 1

     

     


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  • -Shino ? Où vas-tu ?

    Sosuke remarqua que son ami se faufilait en douce par la porte d’entrée de la maison des deux frères, le corbeau noir sur son épaule droite.  Qu’allait il bien pouvoir  faire cette fois ci ?

    -Ne t’en fais pas. Je vais juste voir cette confiserie, au bout de la rue.

    Le grand brun voulu ajouter quelque chose, seulement, l’autre ne l’avait pas attendu un instant et parcourait déjà le pavée de la grande rue. Il marcha un moment avant d’arriver à cette fameuse boutique. Cependant, elle demeurait fermée, pour aucune raison apparente. Mécontent de s’être déplacé pour rien, Shino se décida à faire un tour sur la droite et prendre  un chemin différent pour rentrer. Il aimait bien longer ce canal. Depuis leur arrivé dans cette ville, plusieurs fois il s’était mit aux bords à fin de réfléchir tranquillement. C’est en regardant l’eau qu’il s’aperçut qu’un jeune homme se trouvait assit sur une petite marche descendant dans l’eau, à cinq mètres de lui-même. Ce garçon portait des habits aux motifs géométriques,  sur sa veste aux manches courts et son t-shirt. Son bas ne présenter rien d’autre qu’une banal couleur uni à la teinte noire. Sa chevelure possédait une couleur rousse aux reflets blonds, coupée court comme Genpachi. Pour une raison inconnue, Murasame et son maître le fixèrent un moment, le détaillant de haut en bas, sans être vue, étant donné qu’il était presque dos à eux et tournait la tête vers l’autre bout du canal. Shino fut alors frappé par une une tâche rouge étrange au niveau du pied légèrement découvert de l’étranger. Persuadé qu’il s’agissait d’une tache de naissance, ce qui expliquerait son arrêt devant l’individu, il se permis de l’aborder, s’asseyant à ses côtés.

    -Salut ! Tu es perdu ?

    « Mais qu’est ce que c’est que cette question ?! Je n’avais pas mieux à dire ?! »
    Malgré ces quelques mots, le jeune adolescent dévia d’avantage son regard et ne répondit rien, ignorant totalement le garçon.

    -Je ne te mangerais pas. Je voudrais juste parler. A moins que tu ne sois muet !

    Soudain, le corbeau se mit à s’agiter bruyamment, battant des ailes, sans explications. Shino essaya tant bien que mal de l’arrêter, les passants commençaient à trouver cela étrange. Seulement, il remarqua une chose bien plus étrange encore, le roux c’était replié sur lui-même, cachant sa tête, surement par crainte qu’il ne soit blessé par le volatile, et sur son épaule gauche, un serpent noir à taches rouges répondaient aux cries de Murasame avec des sifflements aigüs. Surprit, Shino recula d’un bon mètre, ne l’ayant pas vus passé, d’où provenait-il ?!

    -Q-Qu’est ce que ça fait là ?! Un… serpent !

    -Hebishiki ! s’écria alors le rouquin, se retournant d’un coup et attrapant l’animal rampant à fin de le cacher sous son haut. T-Tu n’as rien vus !

    Ne pouvant plus éviter le brun, l’adolescent ne détourna pas la tête mais baissa son regard sur l’eau, sans piper mot.

    -Shino. C’est un démon, Shino, murmurait l’oiseau depuis un instant déjà.

    -Tu abrites un démon dans ton corps ?

    Inuzuka souhaitait vraiment savoir d’où sortait le serpent et pourquoi ce garçon s’effrayait autant, alors qu’il n’y avait pas lieu de s’inquiéter ou de craindre quoi que ce soit d’un gamin de treize ans accompagné d’un volatil. Le serpent en question se montra à nouveau, accroché à la taille de son propriétaire, sa tête sortait des tissus et se balançait doucement, sifflotant, et adressant un regard noir en direction de son confrère démon.  En le voyant, Shino l’attrapa d’un geste rapide. Tenu à bout de bras, l’animal se tortillait, pas trop violement, dans le vide. C’est après que le roux demanda de le reposer que le reptile parla.

    -Relâches moi, enfant.

    -« Enfant » ?! Je ne suis pas un enfant !

    -Il n’y a qu’un enfant pour oser me prendre d’une telle manière sans avoir peur de mes morsures…

    En trois secondes, le démon se libéra de l’emprise du brun, tomba parterre puis remonta le long de la jambe de l’autre, restait stupéfait, toujours sans mots.

     

     

    ¤~¤~¤~ 

     

     

     

    -Ben… Shino, c’est qui ça ?

    Kobungo revenait tout juste des courses et comptait se reposer dans le petit salon, autour du kotatsu, seulement, sa place se trouvait être prise par le brun et cet inconnu. Ce dernier tenait un verre d’eau, entre ses mains, qu’il fixait étrangement. La crainte se sentait autours de lui. Mais de quoi avait-il peur ?

    -Il s’appelle Rin, répondit enfin celui au corps d’enfant. C’est le seul mot que j’ai réussi à lui faire dire…

    -Heu… ce n’est pas une connaissance ? Alors pourquoi il se trouve là s’il n’en a pas envie ?

    -Je l’ai croisé par hasard et un démon est sorti de son corps pour se quereller avec Murasame.

    Ce dernier s’agitait toujours un peu au moindre mouvement de l’inconnu, sous la forme de cette œil écœurant, sortant de la chair de son propriétaire.

    -Rin ? Tu habites où ?

    Une boule se forma sur l’épaule gauche du roux et elle se déplaça jusqu’au coup, sortant sa tête triangulaire. Lorsqu’il le vit, l’aîné recula d’instinct et demanda des explications à propos de la présence de cet animal entre les vêtements de l’individu. Ce fut ce dernier qui prit étonnamment la parole :

    -Hebishiki est… un démon. Qui fait partie de moi. Et… Je cherche à m’en débarrasser.

    -Ce n’est pas très gentil de dire ça alors que je partage son épaule ! Nous recherchons un lieu où dormir.

    Suite à une brève discussion avec cet animal, Kobungo les autorisa à rester pour la nuit, à condition de se présenter et d’expliquer leur présence dans la ville. Le silence revînt à nouveau. Shino resta seul un moment avec son invité, puis se fut au tour de Sosuke de débarquer dans la pièce. Tout aussi surprit que le précédent, il demanda des réponses qu’il eu tout de suite. En à peine trente minutes, tout le monde était au courant puisque Keno et Genpachi rencontrèrent le garçon dans le couloir.

     

     

    Il commençait à se faire tard et Rin avait préféré se mettre sur le rebord du passage extérieur, sur les planches de bois, les pieds touchant le sol. Ce fut à ce moment que Shino se rendit compte qu’il n’y avait pas cette tâche de naissance comme la sienne. Enfaite c’était une brulure.

    -Comment tu t’es fais ça ?

    -Quoi ?

    -Cette marque, au pied, tu t’es brulé ?

    -Un bac de braises m’est tombé dessus, il y a quelques années.

    -Tu parles mieux que tout à l’heure. Tu ne te sens pas bien à l’intérieur ? Trop de monde ?

    Le rouquin ne répondit pas, cependant, l’expression à son visage n’exprimait plus la même frayeur que plutôt, il se montrait paisible. Pas forcement heureux, joyeux, mais neutre, un peu pensif. Autre que l’étrange tâche rouge, Shino demeurait bien plus curieux en ce qui concernait le démon accompagnant l’adolescent. Il lui demanda d’abord son âge, et il apprit qu’il restait l’aîné face aux dix-sept ans de Rin. Bien qu’il réussit à avoir cette information, le brun ne pu déceler le mystère entourant le démon sur son épaule.

    -Hebishiki se balade toujours comme ça ?

    -Oui. Je n’arrive pas à le contrôler, alors il fait ce qu’il souhaite.

    -Ce doit être compliqué… Moi je souffle un peu quand Murasame reste enfermé !

    -Je ne peux jamais souffler avec Hebishiki

     

     

    A table l’ambiance s’améliora, si bien que chacun pu parler avec l’invité qui ne refusa pas les conversations, bien que peu avare pour certain sujet. Il n’était pas festif non plus, mais à l’aise avec ces personnes, il s’en surprit lui-même. Mais après tout, comment ne pas pouvoir alors qu’il se trouvait entouré de personnes liés à des démons et que justement, à cause de son serpent, jamais il n’avait pu être si bien intégré. Il y avait à table deux démons, un humain possédant le cœur d’un esprit, un autre avec la moitié de l’âme d’un chien, et pour finir, il y avait Shino.


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  • Hebishiki

    Animé/manga: Hakkenden

     

    Résumé: Alors qu'il se promène dans la ville, Shino fait la rencontre d'un adolescent possédant un démon en son corps. Partageant un point commun important, il décide d'en apprendre plus sur cet inconnu. Cependant, la nature de ce démon se trouve être bien étrange. Parviendront-ils à s'en débarrasser?

     

    Fanfiction 07: Hakkenden

    Genre: Yaoi, Lemon, Mystère

    Personnage: Tous, + Oc Ri

     


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  • Une ville nommée : Silaville, est maintenant envahie par les services secrets qui tentent de résoudre le mystère de « la bête enragée ». Cette « bête » s’attaque à plusieurs boutiques, principalement celles où se trouve de la nourriture, environ une fois par mois on déclare plus de 5 morts, à chaque fois que cette bête attaque.  

    Elle tue toutes les personnes se trouvant sur son chemin. Personne n’a encore pu l’identifier, mais plusieurs racontent avoir vus un loup surgir de nul part et dévorer toute personne présente, évidement c’était impossible puisque les loups avez disparu. 

    Chaque soir, toutes les boutiques sont à l’affût et tentent de capturer cette bête, ils sont évidemment aidés par les services secrets. C’est dans le centre-ville que vas se dérouler la scène.  

    Une petite boutique spécialiste en charcuterie, tout est calme rien ne se passe. 

     

    Soudains la porte s’ouvre sans qu’il n’y est qui que ce soit, le propriétaire du magasin reste derrière son comptoir le téléphone en mains prés à appeler la police. Soudain une ombre traverse la porte vitrée comme un éclair se fracasse sur un arbre, cette ombre se transforme vite en véritable monstre affamé. L’homme, le téléphone à l’oreille est déjà en train de prévenir la police, lorsqu’il s’aperçoit que la créature en question se révèle être un loup. 

    Un gros chien avec un pelage épais qui avait une couleur rouge-orangé, sa queue était toute noire ainsi que le bout de ses pattes et son ventre jusqu'au cou, cela lui faisait comme des flammes noires qui couraient sur ses pattes. Il semblait être un chien croisé avec un ours, tellement il était féroce et fort. Sa force était si grande que l’homme n’osa faire le moindre mouvement. 

    Le loup se m’était à dévorer tout se qu’il pouvait, il détruisait tout, quand il s’aperçut que l'on le regardait il s’arrêta et fixa droit dans les yeux l’homme tout en grognant, au moment ou il allait bondir sur l’homme, des voitures s’arrêtèrent devant la boutique et des hommes en tenues noires et armés de fusils allaient entrer dans le magasin. Le loup n'eut pas le temps de manger plus, il fut obligé de sortir, il sauta au dessus de tous les hommes armés, plusieurs tires avait étaient lâchés mais aucun n’avait touché la bête.  

    Quelques rues derrière Tsume, Kiba, Hige et Toboe avaient entendues les hurlements poussés par des hommes sans doute attaqués par quelque chose. 

    -Vous avez entendu ?  

    -Toboe, fit Hige, qui ne pourrait pas entendre ces hurlements ? 

    -Il faut aller voir ce qu'il se passe. 

    Tsume parti en direction de la bagarre qui avait l’air plutôt grave. 

    -Et ! Tsume ! Attends ! 

    Toboe courra après Tsume en essayant de le rattraper, Kiba et Hige n’avaient pas d’autres choix que de les suivre. Tous les quatre se dirigèrent donc vers le lieu où se trouvait la fameuse bagarre. Le loup se battait comme un démon, très vite il massacra presque tout les hommes qui se trouvaient sur le lieu. Toboe avait réussit à rattraper Tsume, ils montèrent au dessus de la maison pour pouvoir y voir sans se faire remarquer. 

    -Oh ! Mais qu’es ce qui se passe ?demanda Toboe, complètement effrayé, à Tsume. 

    -C’est un loup, qui est en train de massacrer toutes les personnes se trouvant à côtés. 

    -Mais, pour quoi fait-il ça ? 

    Tsume ne répondit pas. Kiba et Hige arrivèrent à leur tour. Ils admiraient le spectacle. Le loup savait où attaquer, il mordait en plein cou et de se faite les humains ne pouvait plus respirer. Il déchirait tous les bras qui se tendaient vers lui pour le fusiller.  

    Le sang régnait sur les lieux. Voyant que d’autres voitures arrivaient, le loup ne s’éternisa pas. Il tua tous les hommes qu’il pu et s'enfuie. Le petit groupe, qui était perché en haut des maisons, suivirent la bête du regard, ce comportement était des plus étrange. Il est vrai que les hommes on toujours détestés les loups et qu’ils ont toujours essayaient de les tuer, ils étaient même arrivés à croire qu’il n’en restait plus.  

    Mais les loups qui étaient rusés réussir à prendre l’apparence des hommes à fin de ce faire passer pour eux. 

    La bête qui avait attaqué semblait n’avoir aucune couleur distincte, son pelage semblait changer à chaque reflet de la lune. Elle était puissante et courait énormément vite.  

    Toboe la voyant partir courut de toutes ses forces pour la rattraper, les autres n'eurent d'autres choix que de le suivre 

     

     

     

     

    -Pour quoi est ce qu’on lui court après ? demanda Hige à ses 3 confrères. 

    -Si on le laisse partir tout seul il va encore avoir des ennuis, lui répondit Tsume. 

    -Toboe! Arrête de courir. 

    Toboe était devant à quelques mètres, ils avaient l’apparence d’humains pour ne pas se faire repérer. Il portait une chemise rouge, un pantalon vert et avait les cheveux des couleurs de son pelage, roux. Il sautait de toit en toit pour essayer désespérément de rattraper le loup. Mais celui ci, devant, courait tellement vite que la seule solution était de prendre l’apparence de loup pour courir plus vite. 

    « Je n’ai pas le choix, il faut prendre mon apparence de loup » pensa Toboe. Il devint alors un véritable loup, avec un pelage roux foncé. 

    -Hé ! attends !...arrête de courir ! s'écria Toboe à la bête qui courait droit devant elle. 

    Le loup qui avait entendu Toboe commença a ralentir et s'arrêta nette devant lui, il lui lança un regard plein d’assurance et de colère, puis elle disparut dans une ruelle. Les trois loups qui suivaient Toboe arrivèrent au niveau de leur ami.  

    -Il faut savoir se que tu fais, Toboe. 

    -Hige, c’est pas le moment d’attirer l'attention en se disputant, rouspéta Kiba. 

    Tsume en avait marre de courir pour rien, il passa devant le loup roux : 

    -Tu peux me dire ce qui se passe ? 

    -Je suis sûr de le connaître, sa tête me dit quelque chose, surtout son pelage. 

    Kiba se rapprocha de Toboe, il se rappela de ce loup courant dans l'obscurité : 

    -C’est vrai, on aurait dit qu’il courrait sur les ténèbres, comme une flamme dans le noir. 

    -Et alors ? On va courir après tous les loups qu’on croit connaître, tu veux pas ouvrir une association aussi ? 

    Tsume avait l'impression d’entendre des gamins : 

    -Hige, la ferme, il est temps d’y aller avant que les autres n’arrivent. 

    La discutions prit fin et ils partirent. Dans leur route ils trouvèrent une maison abandonnée. Ils y rentrèrent et commencèrent à explorer. La maison tombait en ruine, il manquait toute une façade et même une grande partie du toit. Ils s’en contentèrent et trouvèrent un coin agréable pas trop détruit qui devait sans doute être une chambre au-par avant. Après un long silence, ils finirent par s'endormir. Kiba était en quelque sorte le chef de la meute, il était blanc comme neige et autant bagarreur que Tsumé, qui lui était plutôt de couleur grise avec une cicatrice sur le buste. Dans le silence, on entendait Higé, le loup roux clair qui ronflait doucement. Ils étaient tous exténués, ils avaient passés une dure journée et la poursuite de Toboe les avaient encore plus affaiblis. Désormais ils dormaient sans penser à autre choses mais toujours prés, au aguets. 

    Au matin il pleuvait. Les rues étaient désertes et inondées. 

    -Qu'est ce qu'ont fait? demanda Higé démoralisé. 

    -Je ne sais pas, lui répondit Kiba, on devrait attendre un peu. 

    -Au contraire, interrompit Tsume. 

    -On ne doit pas attendre, vus se qu'il c'est passé hier, les flics nous retrouveraient trop facilement. 

    -Mais, on a rien fait nous! Rouspéta Toboe. 

    -Réfléchissez, si il y a un loup qui est recherché, ils savent où aller, les coins à explorer, donc il ne faut pas rester dans un endroit à découvert. 

    Kiga fut d’accord: 

    -Tu as raison Tsume, allons y. 

    La meute se déplaça rapidement, ils restèrent sous leur apparence d'humains et avancèrent, malgré la pluie gelée et le vent glacial. Ils avançaient en cherchant de quoi se nourrir car les pauvres étaient affamés. Ils traversèrent une partie de la ville et tombèrent devant le bâtiment de la police secrète. Les troupes se préparaient à l'inspection de la ville, ils étaient plus que déterminés à retrouver ce loup terroriste. Ils avaient des armes aussi grosses qu'eux et des véhicules énormes. 

    -Ne restons pas là, filons, fit Kiba au reste de la meute. 

    Ils repartirent tout droit en voyant passer devant eux les véhicules remplis de ces soldats préparés à la guerre du loup. 

    -Pourquoi sont-ils tout un régiment, pour un simple loup? 

    -Il ne doit pas s'agir de cela, ou alors ce loup est une vraie terreur, lui répondit Higé. 

    -Hum...surement... 

    Toboe se sentait mal à l'aise, il était sûr de connaitre ce loup, et il voulait le revoir ne serai-ce qu'une fois pour découvrir qui il est. Soudain, Hige interrompu les pensés de Toboe en criant:

    -Regardez! Il montra un porte monnaie, regardez! On va pouvoir s'acheter de la bouffe! 

    Il ouvrit le porte monnaie et en sorti 3 gros billets. 

    -Avec ça, on peut s'acheter plein de truc! 

    -Où tu l'as trouvé, demanda Tsume. 

    -Par terre, sur le trottoir. 

    Il ne précisa rien, il aperçut une boulangerie et il y accourut avec ses billets en main. Il s'arrêta devant la vitrine. 

    -Zut, c'est fermé. 

    -Que compte tu faire de ça maintenant? demanda kiba. 

    -bé, acheter à manger, répondit il avec assurance, il tourna en rond en cherchant un magasin ouvert, mais rien n'était ouvert. 

    -ça alors, c'est bizarre, qu'est ce que je fais de mon argent si y'a rien d'ouvert? 

    Les trois autres loups rigolèrent.

     


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    Chapitre 1


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    Chapitre 1


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    La vengeance d'Alois

    Chapitre 1


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  • Lorsque Rei entra dans la salle de classe, il s’aperçut bien vite qu’un paquet l’attendait sur son bureau. Curieux, il l’ouvrit et découvrit son uniforme tout propre. Naturellement, il savait d’où cela venait et il chercha donc du regard pour finalement s’arrêter sur le bureau de droite, tout au fond de la classe. Hazuka Riko griffonnait sur son cahier, entouré par deux filles qui semblait etre des amies à lui. Comme il ne semblait pas vraiment occupé, le grand à lunettes se décida à aller le voir pour le remercier. Lorsque les filles virent qu’il arrivait vers elles, leur discussion se stoppa.

    -Hazuka ? demanda tranquillement Rei.

    Surprit d’entendre son nom, le concerné laissa son crayon et leva la tête.

    -O-oui ?

    -Je te remercie pour l’avoir lavé, tu sais, c’était pas urgent, tu me l’aurais rendu tel quel, ce n’était pas grave.

    -Mais…Il sentait…le chlore…

    -Ha… D’accord… D’ailleurs, Haruka ne nous a toujours pas dit pourquoi il a fait ça. Il refuse d’en parler.

    -C’est pas grave. J’ai déjà oublié.

    Cette phrase sonnait un peu faux, et en lui-même, Riko le savait. Il avait prit l’habitude de répéter ces mots, toutes les fois où on le blâmait, que l’on lui faisait des remarques désobligeante, à chaque fois, il disait cela pour ne pas paraitre blessé.

    Comme il se sentait fixé par les deux adolescentes, le jeune homme aux lunettes rouges préféra retourner à sa place, mais Nagisa ne le voyait pas comme ça.

    -Bonjour Rei !oh ! Bonjour à toi aussi, Riko !

    Gêné que l’on l’appelle par son prénom, ce dernier répondis faiblement et se replongea dans son cahier, le visage rougit. Le blond rigola gentiment en voyant cette réaction avant de suivre l’autre jusqu’à son bureau. Il avait prit la place à sa gauche, après tout, ils faisaient parti du même club et s’entendaient plutôt bien.

    -Il a l’air timide, c’est amusant qu’il rougisse comme ça.

    -Je ne vois pas en quoi c’est amusant. Il a plutôt l’air d’être mal dans sa peau. Je ne suis pas sûr que le faire entrer dans le club changera quoi que ce soit.

    -Il a peut etre besoin d’eau pour être à l’aise ? Regarde Haru !

     

     

    Pour manger, les quatre membres du club se rejoignirent sur le toit, comme à l’habitude qu’avaient les deux deuxièmes année. Ainsi, ils parlèrent de leurs cours, de la journée puis ils en vinrent au club de natation. Et forcement, Riko apparut aussitôt dans la discussions. Haru ne disait rien à ce sujet. Rei continuait à penser que c’était une mauvaise idée de l’intégrer, mais Makoto et Nagisa étaient tout deux d’accord pour l’accepter, après tout, ils ne le connaissaient pas, et il avait le droit d’essayer !

    -De toute manière, je lui ai demandé de venir au club après les cours. Comme ça, on verra bien, conclut Nagisa.  

     

    Et comme il l’avait prévu, Riko arriva au club. Haru nageait toujours, comme à chaque fois dés qu’il en avait l’occasion. Le capitaine venait tout juste de sortir du vestiaire après s’être changé et tomba sur la petite tête brune. Gou , qui regardait du côté de la piscine, n’avait pas fait attention à lui.

    -Salut, commença amicalement  Makoto. Tu es venu nager ?

    -N… En fait je voulais… avoir une réponse… avant.

    -Ha… Heu…C’est vrai qu’hier, ça a était un peu brusque… Je n’ai pas de raison de te refuser l’accès, c’est un club ouvert à tous.

    -O-ok…

    Hazuka ayant eu sa réponse, il commença à repartir…

    -Heu… Tu ne veux pas nager ?

    -J’ai pas de…maillot de bain…

    -Qui n’a pas de maillot de bain ? Intrigué par ce qu’il avait entendu, Nagisa, prêt pour son plongeon, sortait du vestiaire tout en se rendant compte qu’il y avait le brun. Bienvenu, Riko ! C’est toi qui n’a pas de maillot ?

    -Oui… Je dois le changer.

    Makoto et Nagisa s’échangèrent des regards puis, finalement, le plus jeune des deux prit la parole :

    -Alors on va aller en acheter un !

    En quelques secondes, il s’habilla et dépassa Riko tout en lui disant de le suivre.

     

    A peine une demie heure plus tard, ils étaient de retour. Les deux garçons parlaient entre eux, tranquillement et entrèrent dans le vestiaire. Le brun se mit en caleçon. Son corps était plutôt mince, peu musclé, mais possédait une jolie teinte.

    -Tu n’es pas très musclé… Tu nages depuis longtemps ?

    -Je… C’est ma première fois…En club.

    -Ha ! Je comprends pourquoi tu es si stressé alors.

     

    Tout le monde était sorti de l’eau pour voir de quoi était capable le nouveau membre du club. Il avait prit un maillot de bain comme Haru, sauf qu’il était entièrement noir, comme son bonnet et ses lunettes. Riko était sur la petite base de plongeon et fixait l’eau qui ondulait devant lui. Il avait pied, alors pas besoin de s’inquiéter. Cependant, il semblait effrayé, ou intimidé devant une étendue d’eau si vaste.

    -Je ne sais pas très bien nager, dit il tout d’abord. Et je ne sais pas plonger non plus…

    -Qu’est ce que tu fais ici alors ? répondit de but en blanc celui qui ne pouvait s’empecher de nager, même dans sa baignoire.

    Se sentant agresser, et ne sachant que répondre, le concerné commença à s’en prendre à son bras, comme lors de leur première rencontre.

    -Rei ne savait pas nageait et détestait la nage avant de venir ! s’écria alors le blond.

    -Et toi Haruka, tu n’as pas a parler comme ça ! poursuivit la jeune fille, Gou.

    Riko regarda son bras droit qui rougissait sous ses griffures biens que légères. Puis il sauta. Simplement, il sauta de sa base pour tracer un arc avec son corps. Ses mains étaient mal positionnées, mais cela ne l’empêcha guère d’entrer dans l’eau convenablement. Il fit quelques brasses sous l’eau puis ressorti finalement tout en faisant des mouvements ressemblant au crawl. En faite… Il faisait de la nage libre. Il fit un aller retour sans trop d’encombre, bien qu’il n’arrivait pas à coordonner ses bras et ses mains. Mais cela lui importait peu, du moment qu’il pouvait nager dans l’eau !

    Lorsqu’il parvînt là où il était plus tôt, il était essoufflé, fatigué, cherchant à remonter, mais sa force ne lui suffisait pas. Alors gentiment, Makoto lui attrapa la main pour le tirer hors de l’eau.

    -Tu ne sais peut etre pas, mais ton plongeon n’était pas catastrophique, et ta nage est proche du crawl. C’est plutôt bien, non ?

     

     

    « J’ai donc était accepté dans le club de natation. Je leur ai bien demandé de ne pas en parler aux autres élèves ni au professeur. J’espère que ça ira. Je veux tenir le coup dans ce club ! la nage est enfin pour moi ! je vais pouvoir nager ! Quelle excitation ! En plus, Nagisa et Rei sont dans ma classe. J’ai désormais deux nouveaux amis ! »

     

    -Haruka, tu es toujours du même avis, pour Riko ?

    Le brun marchait tranquillement au côté des trois autres jeunes qui le raccompagnaient chez lui.

    -Toi aussi Rei ? Tu penses toujours qu'il ne devrait pas être là ?

    Tant bien que mal, Nagisa essayait de faire accepter le nouveau au près des autres, surtout au prés d'Haruka qui ne répondait même pas.

    -Bien..., il remonta ses lunettes. Je pense qu'il a une certaine capacité dans l'eau. Son plongeon était bien calculé, et il a dit n'en avoir jamais fait. Par contre, il est vraiment trop mal à l'aise. C'en est déstabilisant, on ne sait pas quoi faire de lui.

    -Donc tu n'es toujours pas d'accord...

    -Je n'ai pas dis ça. C'est juste qu'il faudrait qu'il trouve une place.

    -Il l'aura. Ce club n'est pas fermé non plus. Les membres sont acceptés, du moment qu'ils savent nager.

    Le brun fixa Makoto durant sa prise de parole. Il semblait réfléchir silencieusement. Mais le blanc ne dura pas longtemps, car déjà, Nagisa reprit.

    -On a une bonne raison de l'accepter. La meilleure ! Et celle qui a servit aussi pour l'intégration de Rei !

    -De quoi tu parles ? demanda ce dernier.

    -Je parle de son prenom ! Il s'appelle Riko ! Riko Hazuka ! C'est un prénom de fille ! Comme nous ! Alors il DOIT etre accepté, et par tout le monde ! Même toi, Haru !

     

     

     

    -Bonjour Riko ! Tu vas bien ? J'ai une grande nouvelle pour toi !

    -heu... Je...

    Il n'eu pas le temps de répondre que déjà, son interlocuteur continuait.

    -Tu es comme nous cinq, t'es dans le même cas ! Tu as un prénom de fille ! Tu t'appelles Riko !

    Ayant déjà eu des remarques incessante sur ce point là, Hazuka était resté assez sensible sur ce niveau là. Tellement, qu'il faillit sortir de la classe. Le ton amusé qu'employait son nouvel ami l'énervait encore plus. Comment pouvait-il se moquer ainsi ?! Mais, finalement, Riko découvrit qu'en faite, c'était plutôt une bonne chose. Nagisa avait un large sourire, il semblait heureux juste pour son prénom, comme si c'était exceptionnel pour lui. Cette remarque fit rougir le brun qui bredouilla quelque chose incompréhensible.

    -Qu'est ce que tu as dis ?

    -Je... Pourquoi tu dis ça ?

    -Par ce que c'est vrai. Et que moi, Haru, Mako, Rei et Rin, on est comme ça aussi. Chacun à un prénom de fille. Tu ne trouves pas ça génial ?

    -Pas particulièrement...

     

    -Nagisa ! Arrête de lui dire n'importe quoi !

    La voix qui venait de surgir venait du garçon à lunettes qui avait prêté son uniforme deux jours avant.

    -Tu n'as pas encore remarqué que toute la classe vous regarde avec des yeux de poisson ?

    -Ehhe ?

    Supris de découvrir que c'était vrai, les deux autres se regardèrent durant quelques secondes, jusqu'à ce que Nagisa se mette à rire. Même si il ne comprenait pas, Riko fit de même, attiré par la bonne humeur de son ami.

     

    À la pause de midi, le blond vînt inviter Riko à manger avec lui et le reste de la bande. Il avait remarqué qu’il mangeait toujours seul malgré les deux filles qui semblait être des amies à lui. Ils se retrouvèrent donc sur le toit en compagnie de Rei, attendant Makoto et Haruka. Tout trois étaient assis contre la grille qui entourait leur lieu de pique-nique.

    -Tu es originaire d’ici Hazuka ?

    -Heu…N-non… Pas du tout…

    -D’où alors ? Tokyo ?

    Il fit signe de tête.

    -Non… En faite… Je suis né sur une petite île.

    -Ha ? C’est pour ça que tu es si timide ? demanda Nagisa. Tu es ici depuis pas longtemps, non ?

    -Un an.

    -ça se voit, tu n’es pas habitué.

    -Bon ! si on mangeait ? Ils n’ont pas l’air d’arriver !

    Sans vraiment attendre de réponse, Rei ouvrit son bento et commença a manger.

    -Hum… Ils ont dû aller quelque part.

    Ils mangèrent tranquillement. Riko ne parla pas durant tout ce temps, malgré les interventions du blond qui voulait au moins le faire rire, mais n’y arriva pas.

    Une heure plus tard, les cours recommencèrent. L’après-midi passa doucement puis vînt l’heure de l’entraînement.

    Dans le vestiaire, les cinq garçons en maillot de bain regardaient Gou faire une drôle de choses. Elle était habillée en habit traditionnel et écrivait des phrases à l’encre sur de longues feuilles de papiers.

    - Gou, tu fais encore ça ? demanda Nagisa, perplexe.

    -La pression est ce qui pousse les gens au prochain niveau, dit-elle, sans répondre à la question qu’on lui posait.

    -La pression ruine aussi certaines personnes, continua Haruka.

    -Tu parles de Rei ?

    -Je ne suis pas si faible, Nagisa !

    Riko regardait attentivement la scène, se demanda le comment du pourquoi cette jeune fille se retrouvait à faire de l’écriture dans un vestiaire de piscine en parlant de pression. Puis Makoto releva un point.

    -Attends, pourquoi tu portes un hakama ?

    Cette phrase fit rouspéter Gou qui leur cria alors d’arrêter de parler et ce mettre à nager. Seul Riko reste dans la pièce tendis que les quatre autres s’étaient dépêchés de courir dehors.

    -A quoi ça sert ? demanda t il.

    Mais la jeune fille n’eu pas le temps de répondre, toutes les feuilles se soulevèrent à cause du vent et partir un peu partout au fond de la pièce.

    -Rah ! C’est chiant !

    Elle se mit donc à ramasser les feuilles, aidé par l’autre qui, intrigué par un bout de papier dépassant du tapis, souleva celui-ci. Il montra sa découverte à Gou. C’était un vieux livre affiche avec marqué « le club piscine du lycée Iwatobi. Le camp d’entraînement de l’enfer sur une île déserte. »

    -Mais c’est une super idée !

    Comme Nagisa l’appelait, Riko sorti pour rejoindre les autres. Makoto résumait  les inscriptions de chacun pour le tournoi préfectoral qui allait avoir lieu. Pour lui, c’était le cent et deux cent mètres dos, Nagisa se proposa pour la même distance mais à la brasse, et inévitablement, Haruka resta sur sa nage libre et Rei sur la nage papillon.

    -Ha ! Riko, que veux-tu faire comme nage pour le tournoi préfectoral ?

    -Un…tournoi… ? Heu… Je ne sais pas si je pourrais faire ça…, sa nervosité se montra encore une fois par le fait qu’il se gratta le bras. Je… ne sais pas vraiment nager…alors…

    -Je pense que tu peux tout de même t’inscrire.

    Il n’en dit pas plus car Gou arriva à son tour en criant qu’elle avait trouvée quelque chose de fantastique. C’était en réalité l’affiche découverte plus tôt.

    Nagisa fut le premier intéressé et trouva cette idée super, de faire un camp d’entrainement sur une île déserte, puis le capitaine confirma, bien que le mot « océan » sembla le déranger quelque peu… Mais seul Haruka le remarqua. Bien qu’ils s’emballent à l’idée de faire ce camp, le nouvel arrivant ne semblait pas très excité…

    -Je… Je suis pas sûr que je pourrais…

    -Qu’est ce que tu racontes ! bien sûr que tu peux ! enrichit Nagisa. Ce sera vraiment sympa, aller ! Participe toi aussi ! Et puis c’est parfait pour le tournoi, tu veux t’y inscrire, non ?

    -O-oui… Bien sûr… Ce serait…génial…

     

    Il y eu d’abord des problèmes de financement, car le lycée ne pouvait pas payer ce camp, cela revenait trop cher. Mais finalement, Makoto commença à débloquer les choses en retrouvant un sac de campement et tout l’attirail qui allait avec. Il ne leur manquait plus que le transport. Et cela fut arrangé par leur ancien coach. Désormais, ce camp d’entrainement devenait possible.

     

     

    « Ainsi donc, je me retrouve à pouvoir peut être réaliser mon rêve, celui de participer à un tournoi de natation… J’espère seulement que tout se passera bien, j’ai si peur que tout rate à cause de moi… Et cette histoire de camp d’entrainement, c’est encore plus dangereux je pense… Je n’aurais pas le droit à l’erreur… »

     


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